Résumé
L’article critique la gestion de l’inflation par la Fed et soutient qu’elle n’a pas réussi à maintenir la stabilité des prix, avec des taux d’inflation dépassant la cible de 2 %.
L’auteur remet en question la logique derrière l’objectif d’inflation de 2 %, soulignant qu’il n’y a rien de souhaitable dans un taux d’inflation de 2 %.
L’article explore le débat sur le changement climatique et son impact sur l’économie, mettant en évidence la nature polarisée de la discussion et l’influence de puissants groupes d’intérêts.
Il soutient que la transition d’une économie basée sur la dette à une économie basée sur des actifs réels et des matières premières entraînera une augmentation de l’inflation à l’avenir.
L’auteur suggère que les banques centrales, y compris la Fed, pourraient avoir du mal à contrôler l’inflation à mesure que les prix des matières premières augmentent.
L’article aborde également l’augmentation des déficits aux États-Unis, qui devraient entraîner un endettement accru du Trésor américain, atteignant potentiellement 4 à 4,5 billions de dollars.
Il met en garde contre les risques associés à l’augmentation de la dette, des déficits et de l’inflation, pouvant entraîner une spirale négative.
L’auteur conseille aux investisseurs de considérer les actifs tangibles tels que les métaux précieux et les matières premières comme une protection contre les défis posés par l’inflation, les déficits et la dette.
L’article conclut en soulignant l’importance de protéger les actifs face aux risques mondiaux.
Source : Goldswitzerland.com
« La croissance de la dette nationale américaine est insoutenable », a déclaré M. Musk dans un article 12 février 2024. Il réagissait à un article indiquant que les paiements d’intérêts sur la dette nationale américaine de 34 000 milliards de dollars s’élevaient déjà à environ 1 000 milliards de dollars par an et qu’ils devraient atteindre 3 000 milliards de dollars par an dans moins de dix ans.
En mars, M. Musk a réagi à un article indiquant qu’il aurait fallu environ 63 % de tous les impôts sur le revenu des personnes physiques en février 2024 rien que pour payer les intérêts de la dette nationale américaine de 34 000 milliards de dollars.
Dette américaine
Source : FRED
Évolution des Intérêts sur la dette publique des États-Unis
Source : FRED
Dette publique fédérale des États-Unis en pourcentage du produit intérieur brut
Source : FRED
Cette infographie présentée par Visual Capitalist révèle que la dette publique mondiale devrait atteindre 97 100 milliards de dollars en 2023, marquant une augmentation significative de 40 % depuis 2019, en grande partie due aux mesures économiques adoptées pendant la pandémie de COVID-19. Les États-Unis se distinguent avec la dette la plus conséquente, représentant plus d’un tiers du total mondial. Cette situation soulève des questions importantes sur le service de la dette, devenu une dépense gouvernementale majeure.
Résumé
La dette publique mondiale est prévue atteindre 97 100 milliards de dollars en 2023, marquant une augmentation de 40 % depuis 2019.
La pandémie a poussé les gouvernements à mettre en place des mesures financières radicales pour soutenir leurs économies, ce qui a considérablement accru les niveaux de dette.
Le coût du service de cette dette représente désormais 20 % des dépenses gouvernementales et devrait dépasser les dépenses de défense d’ici 2028.
Le Japon présente l’un des ratios dette/PIB les plus élevés, à 255 %, principalement en raison du vieillissement de la population et des dépenses de sécurité sociale.
L’Égypte fait face à des coûts d’emprunt élevés, avec 40 % des revenus consacrés au remboursement de la dette.
Plusieurs économies émergentes, comme le Liban et le Ghana, connaissent des difficultés financières avec des situations de défaut.
L’Amérique du Nord présente les niveaux de dette les plus élevés, les États-Unis représentant plus d’un tiers de la dette mondiale totale.
Les niveaux de dette augmentent également dans d’autres régions, notamment en Asie et dans le Pacifique, en Europe, en Amérique du Sud et en Afrique.